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La démission silencieuse

Dirigeants, 4 approches pour éviter « le quiet quitting »

Le quiet quitting est un phénomène d’autant plus grave et pernicieux qu’il arrive graduellement. Pour autant, de plus en plus de dirigeants et de managers le constate, notamment dans les résultats de l’entreprise ! Les salariés concernés s’en remettent au strict contenu de leur fiche de poste là ou hier, ils pouvaient le plus souvent faire plus, voire du zèle.

Le quiet quitting quézaco ?

En fait, le quiet quitting est une forme de démission silencieuse au sein de laquelle le collaborateur respecte strictement sa fiche de poste. Il fait donc le job mais, ni plus, ni moins. Les raisons du quiet quitting sont diverses ; par exemple, des mérites pas ou peu reconnus. Ainsi, de mon expérience managériale comme de coach professionnel, je vous suggère quatre approches. Ces quatre astuces peuvent vous aider à remédier à ce phénomène avant de subir une éventuelle dépression ou une vraie démission du salarié :

  • Analysez la qualité de vie et des  conditions de travail
  • Instaurez un climat de confiance
  • Soyez attentif à la (sur)charge de travail
  • Revalorisez le travail exécuté

Mes 4 astuces contre le quiet quitting

La qualité de vie et des conditions de travail

Établissez un baromètre qualité de vie au travail au sein de l’entreprise. Assurez vous ainsi que votre culture managériale soutienne le développement harmonieux des collaborateurs. Montrez aussi de la reconnaissance quant au travail réalisé. Et bien entendu, pratiquez une écoute active et bienveillante. Cela vous permettra en plus de détecter d’éventuels signaux faibles.

Un climat de confiance

Dès le début, précisez la culture de l’entreprise ainsi que vos attentes. Montrez votre propre disponibilité est également un plus indéniable pour la confiance en soi. En agissant de la sorte, vous encouragez des retours d’informations et des suggestions des salariés. Et leur disponibilité sera accrue. Cerise sur le gâteau, cette attitude vous permettra d’être attentif ou d’être signalé des signes avant-coureurs d’un mal être psychologique.

Le quiet quitting peut se remarquer à l'aide de signaux plus ou moins visible. Manager une équipe au quotidien, c'est être aussi à l'écoute de ces signaux

Charges et surcharge de travail

Soyez vraiment attentifs à la (sur)charge de travail des collaborateurs. Dans la mesure du possible, adoptez un mode de travail flexible qui convienne à chacun(e). Cela peut être du télétravail ou de l’aménagement d’horaires. Un bon équilibre entre job et vie personnelle facilite le bien-être au travail et la motivation intrinsèque.

Reconnaître le travail effectué

La première des reconnaissances envers un salarié est de considérer le travail exécuté. Vous estimez ne pas toujours avoir assez de temps pour leur assurer une bonne écoute­ ? Il reste toujours les avantages en termes de revalorisation salariale et divers autres incitatifs que vous trouverez en fonction de votre culture d’entreprise…

Heureusement, il y a du bon dans toute chose et le quiet quitting vous permettra de remettre les choses à plat. C’est donc, a contrario, un bon atout pour mieux manager une équipe au quotidien.

J’accompagne dirigeants et managers en direct depuis une dizaine d’années. Durant ce temps, j’ai cumulé des formations et différentes approches pour mieux vous servir. Et surtout pour vous proposer un accompagnement sur mesure et respectant votre culture d’entreprise. Par exemple, cela peut commencer par un diagnostic humain à base d’outils vous permettant de comprendre le fonctionnement de chacun(e) de vos salariés.

Pour étayer votre réflexion, sachez que le quiet quitting en entreprise est similaire au quiet quitting en amour… Et pour parlez de vous, merci de me laisser un message ici ou de prendre directement rendez-vous là.

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